Les dessins «automatiques» des carnets du printemps 2012 sont travaillés à plus grande échelle pour former ces compositions ou le corps féminin est ramené à une succession de formes et d’enchainement de lignes courbes, au sein desquelles se repèrent les signes de la fébrilité des mains. Le traitement coloré en grands à-plats adoucit la violence du graphisme.